Avec la création de D- Sécurité Groupe en 2007 installé de nos jours à Genas, Mickaël Amann imposa son groupe sur deux marchés porteurs : celui des défibrillateurs et celui des purificateurs d’air.
Des idées à revendre
Après avoir été sapeur-pompier de Paris, puis avoir investi dans la restauration, Mickaël Amann s’intéressa au marché, encore restreint, des défibrillateurs. Son objectif était d’installer et d’assurer la maintenance des défibrillateurs dans les entreprises et les collectivités. Pour y parvenir, il créa Défibrillateur France qui se déploie vite sur tout le territoire français. Entre l’assemblage de leurs packs défibrillateurs et le service de formation pouvant être menés dans les locaux ou directement chez les clients, l’entreprise s’agrandit et change plusieurs fois d’adresse pour se poser à Genas en 2018, lieu idéal pour répondre à la demande et aux besoins croissants.
Près de 10 ans après sa création, D-Sécurité Groupe donne naissance à Qualit Air
Qualit Air s’insère dans le marché des purificateurs d’air, des produits pas si éloignés de ceux vendus par sa grande sœur, Défibrillateur France car leurs objectifs sont les mêmes : sauver des vies. En effet, la qualité de l’air a un impact direct sur notre santé et les purificateurs d’air permettent de filtrer et de purifier l’air ambiant comme les bactéries, les pollens et même les virus.
Un succès qui se confirme
Avec la crise sanitaire de la Covid-19, le succès de D-Sécurité Groupe ne se dément pas. La vente de purificateurs d’air, de masques pour toute la famille et de défibrillateurs ne cessent d’augmenter. Des enseignes de renom lui font confiance comme King Jouet qui commande plus de 50 000 masques par mois. De plus en plus de purificateurs d’air sont installés en entreprise mais aussi chez les particuliers.
La santé est redevenue une des préoccupations principales de nos vies mais aussi dans les entreprises qui ont compris que la prévention et la protection sont les clés allier efficacité et productivité.
L’avenir s’annonce encore plein de promesses et d’opportunités à saisir.
Merci à la revue Esprit Club Business pour son article.